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 a song of ice and fire (maighread)

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Maighread L. Mackintosh
Maighread L. Mackintosh
LES HIGHLANDERS
LETTRES ENVOYEES : 222 JE SUIS AVEC VOUS DEPUIS LE : 28/06/2017

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MessageSujet: a song of ice and fire (maighread)  a song of ice and fire (maighread) EmptyJeu 13 Juil - 18:46
Insomnia
alias Carole

Je suis ici parce qu'il y avait de la lumière et des gens sympa. J'ai été débauchée sur PRD par Pastel pour venir aider au codage et en fait ... Je suis jamais partie. Mon autel à Outlander prend la moitié de mon petit appart rennais et vous avez pu me voir à la tête de l'atelier Radio PRD consacré à la série (dispo sur Youtube Wink ). En dehors de ça, j'ai 24 ans et je suis sur ma dernière année d'étude en psychologie du travail et je fais un grand nombre d'aller retour entre Rennes et Paris.  
 

Maighread L. Mackintosh
ft. Katheryn Winnick


Latha math ! Dans les vertes contrées d'Ecosse comme dans les villages anglais, je suis connue sous le nom de Maighread Lenaïg Mackintosh née MacNiven et j'appartiens au clan Mackintosh. Je suis née un certain six janvier à Muir of Ord ce qui fait de moi un Highlander. J'ai vingt-sept ans et pour vivre, je suis Herboriste et dame de compagnie de Lady
Mackintosh
: cela fait de moi quelqu'un d'important ! D'ailleurs, je suis mariée mais malheureuse, et, entre nous je préfère les hommes. En ces temps troublés je ne suis pas intéressée par la question
politique
. Un voyageur temporel, ou une sorcière soyons honnête, dirait que je ressemble à Katheryn Winnick et je tiens à remercier Baclava pour cette fidèle représentation de ma personne.

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Comment ressentez-vous le fait
que les Anglais aient envahis l'Ecosse ?

J'ai été elévée dans l'idée que l'Anglais était l'ennemi commun de notre nation: je n'ai aucune réelle animosité envers eux bien sur mais l'occupation anglaise sous laquelle nous vivons est très compliqué à accepter pour les hommes de mon clan. Je ne cesse d'entendre combien la vie était belle avant que ces sassenach ne débarquent et n'imposent leurs lois chez nous. Alors, j'ai fini par y adhérer. Nous devrions tous être libre de vivre nos vies sans avoir à rendre compte aux tuniques rouges de nos actes. Cette annexion de l'Ecosse est une insulte restée impunie pour la simple raison que l'Ecosse n'interesse personne d'autre que les anglais. Si je ne suis pas particulièrement intéressée par la question politique, j'admets que je suivrais volontier le reste de mon clan en cas de révolte.

Pensez-vous que Bonnie Prince Charlie
est légitime au trône ?

C'est une bonne question. Du genre qu'on ne pose que rarement à une dame. Pour être honnête, je n'en sais rien. Bien sur, j'ai entendu parler de la manière dont le grand-père de Charles Stuart a été évincé de son trône par sa propre fille, mais si je n'ai confiance en ce roi qui se pavane actuellement en brandissant nos terres comme étant les siennes, je n'ai pas plus confiance en un homme sorti dont ne sait où et qui clame que la courronne lui revient. Il ne connait pas nos terre, ni nos souffrances. Il partage peut être l'amour de la patrie mais, tant que je ne le verrai pas venir à nos portes pour nous convaincre de son attachement à la vie écossaise, je ne lui trouverais pas plus de légitimité qu'aux autres.

Que pensez-vous des Highlanders qui
résiste aux Anglais ?

Ils sont un exemple. La preuve du courage des notres et de la manière dont nous avons tendance à être "tête brulée" parfois. Je n'adhère cependant pas aux actions qui mettent les notres en danger: attaque l'anglais oui, mais ensemble nous sommes plus fort et je regrette le nombre d'innocents impliqué dans ce conflit. Si l'un de ces rebelles frappait à ma porte, je lui ouvrirait mais je ne dormirais pas sur mes deux oreilles tant que je n'aurais pas juger de qui est l'homme derrière l'épée.

Pensez-vous qu'une rébellion
est envisageable ?

L'Ecosse est une contrée fière que l'Angleterre bafoue depuis bien trop longtemps. L'affrontement me parait inévitable. La colère gronde dans les maisons, dans les chateaux. Si les anglais avaient fait preuve de plus de modestie et de curiosité à l'égard des nôtres, peut être que ces tensions pourraient être évacuée par voie diplomatique. Mais aujourd'hui, je pense que le combat est imminent et la mort sans doute plus proche qu'on ne le pense.
   
caractère
Maighread c'est la tempête, un tourbillon de cheveux blonds courant partout toute la journée: dynamique, presque hyperactive, c'était une enfant curieuse et aventurière qui n'hésitait pas à aller se frotter aux garçons et à se rouler dans la boue. Avec l'âge et sa position de fille de petit seigneur affilié au clan Mackintosh, elle se voit obligée de quitter ses camarades de jeux pour les robes et la broderie, devenant une jeune femme rigoureuse et talentueuse dans les arts manuels tout en gardant un franc parler qui dérange parfois. Maighread reste, malgré tout, avide de liberté et passionée par la nature, c'est une rêveuse capable de passer des heures devant un ciel étoilé, une romantique qui adore lire les contes anciens. Cependant Maighread n'est pas aussi plate que cela: c'est une personnalité forte qui a été étouffé par sa place de femme et d'épouse. Pleine de vie et bornée, comme tous les écossais, elle peut faire preuve d'une hargne particulière. Extremement rancunière, la blonde n'a peur de rien et arrive toujours à ses fins, même si cela doit lui prendre des années. Avec l'âge, et son mariage, Maighread est devenue plus calme, plus discrète d'apparence, la flamme qui l'animait adolescente à quasiment déserté son regard azuré, ne laissant derrière que le malheur et la sensation que le bonheur n'existe pas. Quasiment car les yeux de l'écossaise s'embrasse à la simple vue d'une certaine personne qui ranime, chez elle, les élans fougeux de sa jeunesse peut être pas si lointaine que cela.
anecdotes
Maighread est la seconde enfant de Rupert MacNiven, un petit seigneur dont l'allégeance, depuis des générations, va au clan Mackintosh. Elle a un frère aîné, héritier du domaine familial, une soeur jumelle et une petite soeur de plusieurs années sa cadette. • Son côté garçon manqué à été vivement encourager par le lien très fort qui l'unit à son frère aîné. En effet, elle a beaucoup souffert d'être éloignée de sa soeur jumelle qui, elle, a développé très rapidement son côté féminin et s'est plus facilement faite au rôle de la femme au sein du clan • C'est d'ailleurs son frère qui lui a apprit à se battre, échappant quelques heures à la vigilance de leurs parents pour manier des épées faites de fines branches trouvées sur place. Maighread n'a jamais craint de se faire mal, ce qui en fait une combattante redoutable et insoupsonnée. • La seule chose que Maighread partage physiquement avec Mhairi, sa soeur, ce sont ses cheveux blonds et son regard clair. En dehors de cela, les deux jeunes femmes n'ont qu'un vague air de famille. Mentalement, cependant, les demoiselles sont extremement liées, surtout depuis l'adolescence et le départ de Maighread du manoir familial vers la demeure des Mackintosh où elle doit épouser le fils du Laird, Eoghan Mackintosh • Le mariage a énormément déçu l'écossaise qui s'imaginait vivre le grand amour et qui a découvert le désintéret profond que lui portait son époux. Leurs seuls échanges se résumant à l'accomplissement du devoir conjugal et aux repas qu'elle partage à ses côtés dans la grande salle. • Un an après son mariage, âgé de 24 ans, elle découvre avec joie qu'elle est enceinte: cet enfant attendu pour assoir la position d'héritier de son mari devient son obsession. Elle arborre avec fierté son ventre s'arrondissant, partageant par échange de lettre avec sa famille, ses peurs et sa joie de devenir maman, donnant le change dans sa vie de couple en tentant de se rapprocher de cet époux qu'elle ne connait pas vraiment. Alors qu'elle entame le 6ème mois de sa grossesse, son mari part combattre les membres d'un clan rival. Les tensions regnant au chateau, les non-dits de ce couple mal assortis auront pour conséquences des mots violents, l'éclatement d'une vérité qu'elle ne désirait pas entendre et la perte de son bébé. • Sa fausse-couche la détruit, elle reste allitée pendant des mois, n'écoutant que d'une oreille les reproches de son époux à son égard. Le couple ne pourrait être plus éloigné, mais Eoghan Mackintosh ne compte pas laisser cette perte déteindre sur ses prétentions au titre de Laird, même si cela signifie devoir violenter son épouse. Loin des siens, Maighread subit les assauts de son époux et son déséspoir ne fait qu'augmenter. • Malgré la décéption et les désillusion de son mariage, Maighread a pu rapidement trouvé, en son beau frère Domhnall, une oreille attentive et un ami fidèle. Durant sa grossesse, il se montre extremement prévenant avec elle, éveillant les rumeurs mais ravivant ses espoirs de jeune fille romantique. Alors que son mari quitte une nouvelle fois le chateau pour rencontrer les metayers de son père, Maighread fait face à la déclaration de Domhnall qui finit par devenir son amant. • Les amoureux sont très discrets et même si quelques rares personnes sont dans la confidence, la majorité du clan ignore l'idylle entre l'épouse du fils héritier et son beau-frère. Néanmoins, la présence d'Eoghan devient suffocante pour Maighread qui ne supporte plus de le sentir la toucher et aimerait pouvoir vivre son amour au grand jour. Domhnall parvient à la tempérer, d'autant plus que Maighread vient de se rendre compte d'une nouvelle qui pourrait faire scandale: elle est de nouveau enceinte.




Dernière édition par Maighread L. Mackintosh le Mer 13 Sep - 17:59, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: a song of ice and fire (maighread)  a song of ice and fire (maighread) EmptyJeu 13 Juil - 18:47



Sing me a song
Sing me a song of a lad that is gone...


« Ta garde Maighread ! Elle doit être plus haute ... » Les paroles de son frère furent suivies d'un coup d'épée en bois dans les côtes qui la firent sursauter et tomber dans la vase. Un petit cri s'échappa de ses lèvres puis, un grognement alors qu'elle se relevait, frottant la zone endolorie tout en pestant contre les hommes en des termes que sa mère aurait sérieusement désapprouver. « Meallta ! »  lui répondit-elle, l'assassinant du regard tandis que son rire franc résonnait dans l'arrière-cour. C'était une journée comme une autre au manoir MacNiven: Mhairi devait être en train de coudre dans le salon, lui servant d'alibi en répondant que sa soeur ne tarderait pas à revenir. Son frère aurait du être dans les champs, en train de superviser la récolte et la petite dernière devait certainement être à l'étage, en train de travailler sa lecture. Leur père s'était absenté pour quelques jours, le temps d'un aller retour vers Inverness et le château du Laird Mackintosh, leur mère gérait la maison, offrant à Maighread, l'opportunité de rejoindre son frère. Ses jupons étaient roulé dans la ceinture de sa robe, offrant plus de liberté à ses jambes mais révélant la peau pâle de ces dernières à la vision d'un visiteur impromptu. « Aller, ça suffit. Mère ne va pas tarder à revenir et si elle te voit dans cette tenue, tu vas avoir droit à une correction que tu n'es pas prête d'oublier. Et cesse de jurer ainsi, tu n'es pas un homme ! » L'adolescente acquiesça: elle avait reçu bon nombre de punition dans son enfance. Toute justifiée pour sur, mais son postérieur se souvenait encore de ses escapades près de l'étang avec les enfants des maisons alentours. Mhairi était restée au manoir, mais elle, elle s'était rapidement fait prendre. « Je sais ... Je suis une femme et je dois être docile et soumise. » ironisa la blonde de dix-sept ans en détachant ses cheveux qu'elle avait assemblé un peu plus tôt en un chignon négligé. Lorsque ses jupes retombèrent, elle eut l'impression de porter un poids incroyable sur les épaules.

...

•••

Le regard nostalgique se posait sur la fenêtre observant les pluies automnales tomber sur le jardin du château Mackintosh. Voilà quelques mois qu'elle vivait ici, la bague qui ornait son doigt témoignant de son engagement dans les lieux, de son devoir en tant que futur Lady du clan. Jamais Maighread n'aurait pensé que sa famille lui manquerait tant. Le mariage avait été magnifique, célébré dans la chapelle du château Mackintosh, le riche tissus de sa robe ornant son corps et les paroles ancestrales résonnant à ses oreilles. Eoghan Mackintosh n'était pas un homme désagréable à regarder, bien au contraire. C'était un écossait athlétique, dont la carrure contrastait avec les traits fins de son visage. Non, son époux était bel homme. Enfin, il l'aurait été si, comme elle, il n'avait pas présenté ce visage dépité lors de leurs noces. La nuit qui suivit fut sans doute la plus humiliante de son existence. Allongée sur le lit nuptiale, consciente de la présence de son père et beau-père de l'autre côté de la porte pour s'assurer de sa virginité et de la consommation du mariage, elle n'aurait pu être plus mal à l'aise. Eoghan ne s'embarrassa pas de sentimentalisme, il tenta de se montrer doux puis, une fois l'affaire terminée, se tourna sur le flanc et s'endormit aussitôt, la laissant seule, éveillée, le regard fixé sur l'âtre vide. Maighread s'accommodait tant bien que mal de cette vie de couple: elle vantait la virilité de son mari, tout en se demandant bien ce que les hommes pouvaient trouver de plaisant en cette activité qui, elle, la laissait indifférente. Elle suivait sa belle-mère partout, écoutant avec attention les leçons qu'elle lui donnait sur la tenue d'une Maison aussi important que celle d'un Laird. La blonde regrettait son enfance et ses multiples escapades qui la faisait, désormais, passer pour une idiote. Mhairi aurait été tellement plus à l'aise dans cet exercice. « Vous semblez bien loin de nos terres ma dame. » Maighread se retourna et sourit en voyant Domhnall. Son beau-frère avait exactement le même âge qu'elle et il semblait l'opposé parfait de son aîné: il avait le physique agréable des Macintosh mais présentait plus la carrure d'un artiste ou d'un courtisan que celle d'Eoghan qui évoquait la guerre. L'écossaise savait néanmoins qu'il ne fallait pas se fier aux apparences. Lors de son arrivée au château, avec son père et sa soeur, elle les avait vu s'entrainer dans la cour intérieure. Eoghan était la force brute et impulsive, Domhnall était plus rapide et plus précis. « Je repensais à ma famille, à ma soeur. Nous avions l'habitude de coudre des gants à cette époque de l'année. » dit-elle d'un ton mélancolique, son regard retrouvant sa cible, sur les cimes des arbres. « Rien ne vous empêche d'en coudre ici, non ? » La pouffa de rire à cette question. En effet, il n'avait jamais vu ses oeuvres: faire à Mhairi, ses gants n'avaient rien de fait pour un humain. Et puis, elle imaginait mal son époux les porter fièrement comme l'auraient fait les hommes MacNiven. « Je doute qu'Eoghan partage votre curiosité. »  lui répondit-elle avec un sourire en coin, déjà désabusée par ce mari qui ne semblait lui accorder aucun intérêt. Le sourire énigmatique de Domhnall fit rater un battement à son coeur « Alors ne les faites pas pour lui. » lui dit il avant de disparaitre à l'angle d'un couloir, la laissant là, totalement chamboulée par ses paroles.

•••

Elle n'était plus que l'ombre d'elle même, allongée dans le lit conjugal, les cheveux ébouriffés, le teint pâle comme la mort. Maighread n'avait pas bougé de cette chambre depuis près d'une semaine, elle se sentait comme dans un état second, comme si son esprit avait déserté son corps, ne laissant derrière lui qu'une carcasse vide et sans âme. Elle se souvenait vaguement avoir été levée par l'intendante du château. Avoir été amené vers une grande baignoire où on avait laver ses cuisses pleines de sang, son front plein de sueur. Quand elle était revenue, elle avait à peine remarqué que les draps avaient changé, recouchée à la hâte avant que ses jambes ne cèdent sous son poids. Elle ne mangeait plus, ne tolérait que quelques cuillères de soupe. La plupart du temps, elle se contentait de fixer le mur qui lui faisait face, ou sur le plafond. Elle avait reçu la visite de sa belle-mère, qui était restée à son chevet le lendemain du drame, puis celle de Domhnall
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